« Ce n’est pas l’infini que je trouve dans les eaux, c’est la profondeur », affirmait Gaston
Bachelard… Tout à la fois sombre et limpide, douce et furieuse, joueuse et ténébreuse, peuplée d’êtres fantastiques, réels ou imaginaires et dont les abysses nous restent encore aujourd’hui inconnus, L’eau douce se conçoit comme une rêverie chorégraphique fouillant la part étrange, légère et ludique de cet insaisissable élément.
« Ce n’est pas l’infini que je trouve dans les eaux, c’est la profondeur », affirmait Gaston
Bachelard… Tout à la fois sombre et limpide, douce et furieuse, joueuse et ténébreuse, peuplée d’êtres fantastiques, réels ou imaginaires et dont les abysses nous restent encore aujourd’hui inconnus, L’eau douce se conçoit comme une rêverie chorégraphique fouillant la part étrange, légère et ludique de cet insaisissable élément.